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Les principaux arguments – OUI � la suppression des redevances Billag.

Les principaux arguments – OUI � la suppression des redevances Billag.: Chaque personne connaît ses besoins et préférences mieux qu’autrui et sait, de fait, comment dépenser l’argent qu’elle a durement gagné. En forçant tout ménage à payer plus de 450.-�CHF�chaque année pour une redevance radio et télévision, on porte atteinte à son droit à l’autodétermination. Ce qui entraîne une détérioration de sa qualité de vie. La suppression des redevances radio et télévision entrainerait une plus grande liberté de choix et une amélioration de la qualité de vie des citoyens.
Les privilèges accordés par l’Etat à la�SSR�font d’elle une entreprise quasi-monopolistique qui possède de bien meilleures armes que la concurrence. Ce qui fausse le marché. Cette suprématie freine la capacité d’innovation des acteurs privés qui bénéficient au mieux d’une infime part de la redevance. La suppression de la redevance Billag créerait un marché avec une concurrence plus libre, plus juste, au service du client. De manière générale, la concurrence mène à une offre de meilleure qualité et à davantage de diversité. Et ce, à un prix plus bas. C’est pourquoi, une suppression de la redevance Billag, engendrerait une plus grande diversité de l’offre médiatique.
La suppression de la redevance Billag aiderait à atteindre une plus grande liberté des médias. Aujourd’hui c’est le Conseil fédéral qui fixe le montant de la redevance et qui fixe les termes de la concession. C’est également lui qui choisit plusieurs membres du conseil d’administration de la�SSR. La suppression de la redevance doit encourager les médias à jouer leur rôle de quatrième pouvoir, en analysant de façon critique les faits et gestes des politiciens de notre pays. Sans devoir avoir peur de perdre une partie de leurs revenus.
La suppression de la redevance permettrait de libérer un pouvoir d’achat de 1.35 milliard de�CHF�chaque année. Cet apport viendrait apporter un soutien précieux à notre tissu économique. Chaque ménage aurait plus de 450.-�CHF�supplémentaires à dépenser par année. Cette manne financière permettrait à diverses entreprises, concurrentielles, de gagner des parts de marchés et de créer de l’emploi en répondant aux demandes des clients. Cette solution nous parait bien plus juste que le système actuel, ou une minorité profite de la coercitive redevance Billag.
L’Etat à une responsabilité envers les citoyens. Spécialement en terme de dépense rationnelle et économe de l’argent qu’il collecte. Des salaires exorbitants comme celui du directeur général de la�SSR�Roger de Weck (557’434�CHF) ou des parachutes dorés tel que celui accordé à l’ex-rédacteur en chef Ueli Haldimann (330.000�CHF), ne répondent pas à ce principe de responsabilité. Il est primordial de mettre fin à ces privilèges, acquit sur le dos des citoyens ordinaires.
�L’initiative No-Billag ne demande pas la suppression de la�SSR�— contrairement à ce qui est prétendu de manière malhonnête — mais seulement la suppression de la redevance Billag. La�SSR�n’est pas mentionnée dans le texte d’initiative. Si l’initiative est acceptée, la�SSR�devra se financer de façon autonome, comme la large majorité des entreprises de notre pays. Si une demande pour leurs divers programmes existe, la�SSR�ne devrait point avoir de peine à rencontrer le succès nécessaire pour continuer d’exister. La�SSR�pourrait se financer, en plus de la publicité, par la mise en place d’un abonnement paiement.

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